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Traitement du trauma chez le sujet âgé. Sophie RICHET-JACOB pour la Revue Hypnose et Thérapies Brèves 76.



TRAVAILLER AVEC LES SENSATIONS ET LES ÉMOTIONS SOPHIE.
Entre fourmillements des pieds, boule à neige et Playmobils parachutistes, présentation de trois cas cliniques pour illustrer le traitement par l’hypnose du trouble du stress post-traumatique (TSPT) chez les personnes âgées.


Illustration de Caroline Berthet
Illustration de Caroline Berthet
Pierre Janet (1889), élève de Charcot à la Pitié-Salpêtrière, psychologue français, est l’un des précurseurs de l’utilisation de l’hypnose dans la thérapie de patients souffrant de syndrome psychotraumatique. A son époque, il énonçait qu’une thérapie purement verbale serait de peu d’efficacité car le trauma ne serait pas encodé verbalement mais sous la forme d’une empreinte corporelle. Le traumatisme se formerait à cause du trop d’excitation physique et émotionnelle.

Selon lui, ce trop d’excitations (saturation des sensations, émotions... dans le corps) serait mis à l’écart par l’organisme grâce au mécanisme de dissociation. La partie de la conscience liée au souvenir de l’événement traumatique serait isolée du reste de la conscience, comme un corps étranger entré par effraction dans le psychisme, provoquant ainsi des comportements automatiques inadaptés sans liens avec le reste de la conscience. C’est comme si la menace traumatique était toujours présente.

Dans sa pratique, pour traiter le trauma, il utilisait l’hypnose en modifiant la réalité de l’événement traumatique en terminant une action jusque-là inachevée par l’utilisation d’un scénario réparateur. Dans la théorie actuelle, selon Peter Levine, face à un danger ou une menace, il existe trois types de défense : la fuite, le combat et l’immobilisation. Il soutient que c’est l’association du figement et de la peur qui va entraîner le traumatisme. En situation de menace, la réaction d’immobilisation ou de figement est bénéfique pour la survie de l’individu. Cependant, le problème survient lorsque ce mécanisme de figement persiste au-delà de la situation de menace, comme si celle-ci était toujours présente. Stephen Porges (2021), concepteur de la théorie polyvagale, explique que si l’énergie accumulée pendant le trauma n’a pas été évacuée, alors des troubles biologiques, émotionnels, psychologiques et comportementaux vont apparaître.

LE TROUBLE DU STRESS POST-TRAUMATIQUE (TSPT) CHEZ LA PERSONNE ÂGÉE (1).

Dans la population âgée, la prévalence du TSPT est sous-estimée (Helmer, 2016) en raison de la symptomatologie spécifique de ce syndrome – anxiété, agitation, troubles du sommeil, appétit, troubles de la mémoire – qui peuvent faire évoquer d’autres signes du vieillissement.

LE TRAITEMENT DU TSPT CHEZ LA PERSONNE ÂGÉE.

Je vais vous présenter ci-dessous ma pratique actuelle pour traiter les traumas auprès des sujets âgés. Elle s’est particulièrement fondée à partir de mes différentes formations, de mes lectures, de mes observations cliniques. Elle est continuellement en mouvement. Cette présentation illustre mon expérience et ma pratique clinique.

1. La stabilisation et la réduction des symptômes : construire un sentiment de sécurité et de confort.
Au-delà du travail que le thérapeute effectue pour créer l’alliance et l’accordage entre le thérapeute et le patient en thérapie, Bessel van der Kolk (2014, 2018) mentionne qu’on ne travaille pas sur un trauma sans avoir mis au préalable le patient dans un état de sécurité interne. Il stipule qu’« associer des sensations intenses au réconfort, à la sécurité est le fondement de la capacité à s’autoréguler, à s’apaiser ». Par exemple, pour ce faire, je propose au patient de choisir un lieu de sécurité en y associant les sensations de confort et de sécurité.

2. Le traitement des souvenirs traumatiques.
Dans une grande majorité des situations, j’effectue le traitement des souvenirs traumatiques chez le sujet âgé en intégrant les mouvements oculaires - IMO (Beaulieu, 2013), l’hypnose conversationnelle stratégique, particulièrement à partir des concepts de Pierre Janet (1889) et Gérald Brassine (2023) et en prenant en compte les aspects psychocorporels.

Les mouvements oculaires.
Il existe différentes thérapies par mouvements oculaires.
L’une des plus connues est l’intégration neuro-émotionnelle par les mouvements oculaires, ou plus couramment appelée EMDR, d’après l’anglais « Eye Movement Desensitization and Reprocessing » (Shapiro, 1987). Pour ma part, j’utilise l’intégration par les mouvements oculaires - IMO (Beaulieu, 2013).
Dans cette méthode, le thérapeute réalise différents mouvements lents, alternatifs et bilatéraux. Les mouvements réalisés de la main sont horizontaux, verticaux, obliques. Le thérapeute évoque la problématique au cours de la réalisation des mouvements. Le patient suit les doigts du thérapeute puis, après chaque mouvement, il est invité à évoquer ses pensées, images, émotions et ressentis. Cette thérapie permet d’atténuer les pensées, images, émotions et sensations négatives plus rapidement et permet également au corps de décharger l’énergie cumulée lors du trauma et qui n’a pas pu être évacuée comme l’évoque Stephen Porges.

L’hypnose conversationnelle stratégique : changement de scénario.
Pourquoi utiliser le changement du scénario en hypnose ? Les souvenirs ne sont pas maintenus dans leur intégrité, mais ils sont formés et réécrits à chaque fois qu’on y accède (Nader, 2022, cité par Levine). L’équipe de Johannes Gräff (Khalaf et al., 2018) a montré que la clé pour le traitement d’un traumatisme repose dans les mêmes cellules que celles qui stockent ce traumatisme. Dans le cadre d’un traitement, le souvenir traumatique n’est pas inhibé, mais le souvenir est réécrit. En état de frayeur ou en phase de résilience, ce sont les mêmes cellules qui sont activées dans une zone de l’hippocampe appelée le gyrus denté. Dans le cadre de ce changement de scénario, ce que Pierre Janet nommait « restructuration », je le propose sur la base d’une hypnose conversationnelle stratégique. Les éléments traumatiques sont transformés et miniaturisés comme le proposent Gérald Brassine et Nadia Tonglet (2023), externalisés et mis à distance en proposant par exemple au patient d’imaginer face à lui un petit écran. En effet, le patient est invité, à partir de la mise en scène, à terminer ou modifier l’action initiée ou bloquée lors du trauma et dont l’issue est favorable. Il s’agit d’une remise en mouvement, de mener à terme des actions jusqu’ici inachevées, et permettre ce que Pierre Janet nommait un « Acte de Triomphe » (Ogden, 2021). Très souvent, il est nécessaire d’utiliser des actions de type « combat ou fuite ». C’est l’action qui va permettre la résolution du traumatisme. Il peut également être proposé de modifier des perceptions (VAKOG) qui apparaissent perturbantes pour le patient. Prise en compte des aspects psychocorporels J’utilise une hypnose psychocorporelle en m’appuyant :

• Sur une méthode, encore peu connue en France, nommée Haptic Gamma Embodiement (HGE) développée par Marcelo Muniz. Elle permet de prendre en compte les retenues du corps, la gravité, les ancrages, le soutien du corps... • Sur la technique de la pendulation proposée par Peter Levine. J’invite le patient à observer et ressentir la sensation désagréable, puis à se focaliser sur une zone confortable du corps. Pour ma part, je propose toujours les pieds. Cliniquement, j’ai observé qu’une majorité de patients vont décharger cette énergie dont parle Stephen Porges sous la forme de fourmillements, froid, chaleur, picotements, tremblements... par les pieds.

• Sur la focalisation des mouvements, des sensations et des émotions : les informations du trauma sont en grande partie encodées dans le système limbique, le tronc cérébral et le corps. Pour cette raison, les comportements et les souvenirs ne peuvent pas être changés en modifiant simplement les pensées. « Il faut aussi travailler avec les sensations et les émotions – avec la totalité de l’expérience pour guérir les traumatismes » (Levine, 2019). Cette méthode permet une régulation du système nerveux autonome de manière suffisamment douce.

VIGNETTES CLINIQUES

Vignette clinique 1 : trauma de guerre 1939-1945.
Monsieur Stefano, âgé de 86 ans au moment de la thérapie, a vécu en 1944 des événements tragiques : ce jour-là, ses frères ont perdu la vie dans un bombardement qui a frappé la cour de leur domicile. Monsieur Stefano se trouvait derrière la maison au moment où la bombe est tombée dans la cour et a été témoin de la scène dévastatrice. Il éprouve des flashbacks quotidiens de cette scène tragique depuis 77 ans. Il se remémore le bruit sourd de la bombe qui tombe et l’image d’un voisin portant le corps de l’un de ses frères. L’émotion liée à ces souvenirs demeure intense.
Séance 1 Lors de la première séance, j’ai effectué une séance d’Haptic Gamma Embodiment, l’accent a été mis sur les inhibitions corporelles, en particulier au niveau du haut du corps. J’ai invité dans un premier temps le patient à marcher dans la pièce. « Observez et ressentez les pieds qui contactent le sol et ressentez comment le sol touche, contacte et soutient les pieds, regardez à droite et à gauche. » Lors de cette marche, j’ai observé qu’il présentait une retenue au niveau des épaules, qui étaient comme figées et courbées vers l’avant, ainsi qu’une respiration peu profonde. Pour relâcher cette retenue au niveau des épaules, j’ai travaillé en amont avec un bâton : je tiens le bâton et j’invite le patient à le tenir également. « Observez comment les mains contactent le bâton et comment le bâton soutient les mains et les bras. » Je soulève le bâton : « Observez et ressentez comment le support soutient les mains et les bras. » Lorsque le bâton est en hauteur : « Regardez en hauteur, les yeux regardent à gauche et à droite. » Je lui propose ensuite d’expérimenter seul cette procédure. Pour travailler sur sa respiration, je l’invite à s’allonger sur une table médicale. Monsieur Stefano présente une respiration peu profonde qui s’arrête au niveau du diaphragme, il respire très peu par le ventre. Avec son consentement, j’ai apposé très délicatement ma main sur son ventre, sous le nombril : Observez et ressentez la respiration qui contacte la main et ressentez comment la main contacte la respiration. » C’est un geste qui doit être effectué avec une grande délicatesse, c’est l’une des conditions pour permettre de relâcher la retenue au niveau du ventre. Puis j’ai effectué un travail sur la respiration du haut du corps en apposant également mes mains au niveau de son thorax. L’objectif est ici d’aller dans le mouvement de sa respiration. Enfin, je l’ai invité à marcher de nouveau dans la pièce et à observer les changements.

Séance 2 Cette séance a intégré plusieurs outils : le travail avec le corps, l’intégration par l’IMO et le changement de scénario. • Travail d’ancrage : au début de la séance, nous sommes assis sur deux chaises positionnées en quinconce. Je propose au patient : « Observez et ressentez les pieds qui contactent le sol et ressentez le sol qui touche, contacte et soutient vos pieds. Observez et ressentez toute la pression du corps qui se dépose sur la chaise et observez et ressentez le sol qui soutient la chaise et la chaise qui vous soutient. » • Présence : « Je vous invite à ressentir votre présence dans la pièce. » • Espace de sécurité : en faisant un mouvement circulaire de la main : « Je vous invite à ressentir tout l’espace de sécurité entre vous et moi, à ressentir tout cet espace de sécurité autour de vous. » • Lieu de sécurité : le patient m’informe que le choix de son lieu de sécurité est l’endroit où il pratique le golf. Parallèlement, je l’invite à décrire son ressenti intérieur lorsqu’il pense à ce lieu de sécurité. Puis je commence les mouvements alternatifs bilatéraux en évoquant la scène de manière assez vague pour ne pas trop l’activer. Il ressent particulièrement une pression au niveau du thorax. J’effectue comme indiqué précédemment une pendulation entre le ressenti désagréable au niveau du thorax et le ressenti des pieds. Des fourmillements ressentis sous les pieds s’intensifient et il présente une grande inspiration. Parallèlement, le ressenti désagréable au niveau du thorax s’affaiblit mais reste présent. Je continue les mouvements alternatifs bilatéraux. Au cours de la séance proposée, il reste très focalisé par le bruit sourd de la bombe. Je lui propose alors de faire une modification de ce son. Il transforme le bruit sourd de la bombe en une musique de blues. Je lui demande comment il se sent à l’intérieur. Avec surprise, il répond : « C’est différent, le ressenti n’est pas le même, je n’ai plus cette pression dans le thorax. » Je continue les mouvements alternatifs bilatéraux. Il continue à ressentir des fourmillements sous ses pieds, puis dans d’autres zones corporelles. Les fourmillements correspondent à la décharge de la tension, de l’énergie dont parle Stephen Porges (2021) qui s’est créée au moment de l’événement et qui n’a pas pu être déchargée par la suite. Certaines personnes peuvent aussi prendre une plus grande inspiration, bâiller, avoir chaud, froid, trembler...


Sophie Richet-Jacob

Psychologue spécialisée en gériatrie et psychotrauma. Certifiée en hypnose, IMO (Intégration par les mouvements oculaires) et HGE (Haptic Gamma Embodiement). Elle est chargée de cours à l’université de Brest. Elle exerce au CHU de Brest dans un CRPB (Centre régional du psychotraumatisme de Bretagne) et dans un service de gériatrie ainsi qu’en libéral (Finistère).


NOTES
1. Un événement traumatique est défini selon le DSM-V par l’association de deux conditions :
- Le sujet a vécu, a été témoin ou a été confronté à un événement ou à des événements durant lesquels des individus ont pu mourir ou être très gravement blessés, ont été menacés de mort ou de grave blessure, ou bien durant lesquels leur intégrité physique ou celle d’autrui a pu être menacée.
- La réaction du sujet à l’événement s’est traduite par une peur intense, un sentiment d’impuissance ou d’horreur. Peter Levine définit le trauma comme un trouble de la capacité à être dans le moment présent et à s’engager dans une relation appropriée avec d’autres êtres humains.

BIBLIOGRAPHIE
- Brassine G., Tonglet N. (2023), « Surmonter le traumatisme, initiation à la PTR », Bruxelles, Satas.
- Levine P. (2019), « Réveiller le tigre. Guérir le traumatisme », Paris, InterEditions.
- Levine P. (2022), « Trauma et mémoire : Un guide pratique pour comprendre et travailler sur le souvenir traumatique », Paris, InterEditions.
- Porges S. (2021), « La théorie polyvagale : Fondements neurophysiologiques des émotions, de l’attachement, de la communication et de l’autorégulation », EDP Sciences.
- Richet-Jacob S. (2024), « Le traitement du trauma par l’hypnose », in Perennou G. et Sirvain S., Dunod.
- Richet-Jacob S. (2024), « Hypnose et syndrome de désadaptation psychomotrice, Syndrome post-chute », Rhys 29.
- Van der Kolk B. (2018), « Le corps n’oublie rien : Le cerveau, l’esprit et le corps dans la guérison du traumatisme », Paris, Albin Michel

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N°76 : Fév. / Mars / Avril 2025

Effet placebo, dialogue stratégique.


Julien Betbèze, rédacteur en chef, nous présente ce n°76 :

. Dominique Megglé est parti quelques jours en mission avec MacGyver pour trouver le secret de la thérapie réussie. Cet article concerne tous les bricoleurs avisés, adeptes du couteau suisse de la relation humaine. Dominique est revenu de sa mission avec une grande découverte : le placebo. Comment faire pour retrouver cette piste ? Il nous suggère d’accepter d’être « démuni, pauvre, à sec, sans idée », pour pouvoir bricoler « comme un cheval adroit ou un chien de chasse rusé ». La technique pour la technique, voilà le piège.

Thierry Piccoli nous décrit l’importance du dialogue stratégique pour rejoindre l’autre dans son monde de peur et préparer l’engagement dans la tâche thérapeutique afin de bloquer les tentatives de solution. A travers la situation de Corinne, prisonnière d’attaques de panique, il nous montre avec précision comment ce dialogue recadre la situation en permettant une expérience émotionnelle correctrice.

Nous faire découvrir Milton Erickson comme un patient est le challenge que nous offre Blandine Rossi-Bouchet. Cet article original nous amène à percevoir Milton Erickson du côté de ses symptômes (séquelles de dyslexie, aphasie, dysarthrie, douleurs récurrentes), et à découvrir comment ces épreuves l’ont conduit à développer sa créativité et sa résilience.

Vous lirez dans l’« Espace Douleur Douceur » l’introduction de Gérard Ostermann qui nous présente trois articles : celui de Marc Galy nous montre, avec la situation d’une jeune femme présentant un cancer du sein, comment remettre en mouvement les processus d’anticipation à partir de la présence partagée.  Rachel Rey aborde l’intérêt de l’hypnose en préopératoire chez les enfants atteints de scoliose. Maud-Roxane Delatte nous offre une belle expérience concernant l’hypnose et la rééducation de la main en post-opératoire.

. Le dossier thématique est centré sur la gériatrie. Sophie Richet-Jacob nous présente trois cas cliniques concernant le traitement du trauma chez le sujet âgé : deux sont en lien avec la guerre, le troisième cas est en lien avec des violences conjugales et tentative d’assassinat. Elle évoque la méthode de l’Haptic Gamma Embodiement (HGE) pour préparer le travail sur les mouvements alternatifs et les changements de scénarios, avec utilisation éventuelle de Playmobils.

Marie Floccia et Geneviève Perennou nous montrent l’importance de l’hypnose pour accompagner les personnes atteintes de troubles neurocognitifs et leurs aidants. Elles illustrent leur propos avec le cas de Madame Jeanne, 84 ans. Cet article montre les spécificités de la transe chez les personnes âgées et l’importance de retrouver l’estime de soi à travers des expériences de fierté.

Serge Sirvain et Guillaume Belouriez utilisent l’hypnose dans une lecture systémique pour améliorer la qualité de vie des patients en soins palliatifs. Avec deux situations cliniques, les auteurs illustrent l’intérêt de ce lien épistémologique pour pouvoir répondre de manière éthique à ces situations complexes.

Les rubriques :
Enfin, vous retrouvrerez vos rubriques préférées de Stefano Colombo et Muhuc sur le temps qui passe, de Sophie Cohen sur la peur de tomber dans l’abîme, d’Adrian Chaboche sur le mouvement pour retrouver la vie, et de Sylvie Le Pelletier-Beaufond qui nous emmène au Mali pour découvrir le kotéba, thérapie inspirée du théâtre traditionnel.

Livres en bouche

Illustrations de Caroline Berthet

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Laurent GROSS
Hypnothérapeute, Formateur en EMDR - IMO à Paris, Marseille, Annecy, Bordeaux, Suisse (Genève,... En savoir plus sur cet auteur

Rédigé le 2 Mai 2025 à 18:04 | Lu 51 fois




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