Il y a ces blessures invisibles, celles qui ne laissent ni cicatrice ni fracture, mais qui fissurent l’âme.
Grandir sans amour, ou dans un amour imprévisible, c’est vivre dans un monde où rien n’est jamais sûr — ni la tendresse, ni sa propre valeur.
Et quand ces manques se combinent à un traumatisme, la personne ne doute pas seulement des autres : elle doute de son droit même à exister !
C’est là que commence l’histoire racontée dans ce texte : celle d’une patiente qui avance en thérapie avec, en toile de fond, le poids de ses blessures précoces et de ses épreuves ultérieures.
Des traces profondes
Le traumatisme, ici, dans cet article, n’est pas seulement l’accident ou l’agression.
C’est aussi et surtout l’absence de regard bienveillant dans l’enfance, la solitude face à la peur, le sentiment de n’avoir été ni vu ni entendu.
Et ces expériences vont laisser un héritage complexe :
• Une image de soi fragilisée.
• Une méfiance quasi instinctive envers les liens.
• Une vigilance constante pour prévenir la douleur.
En thérapie, cela va se traduire très souvent par un mouvement d’approche-retrait : envie de se confier, mais peur d’être blessée à nouveau.
Une relation thérapeutique sous tension.
Le texte de Vera LIKAJ, décrit avec finesse le jeu délicat qui s’installe entre patiente et thérapeute.
La patiente teste, doute, et observe.
Le thérapeute avance avec patience, sachant que chaque geste, chaque silence, peut être interprété à travers le filtre du passé.
La moindre dissonance peut réveiller une tempête : un retard, un changement d’intonation, une question mal perçue…
Dans cet espace, la confiance n’est pas donnée : elle se gagne millimètre par millimètre.
Entre lucidité et espoir.
Le récit ne cède ni au pessimisme, ni à l’angélisme.
Oui, le trauma laisse des empreintes durables.
Oui, certaines blessures restent sensibles, même après un long travail.
Mais la thérapie offre un lieu rare : un espace où la patiente peut essayer d’exister autrement.
Le texte montre comment, dans le meilleur des cas, la relation thérapeutique devient un laboratoire, c'est à dire un endroit pour tester de nouvelles manières d’être en lien, de nouvelles façons de se percevoir, d’oser se dire sans craindre la sanction.
Le poids du désamour.
Vivre sans amour stable, c’est vivre dans un monde où la chaleur humaine est perçue comme provisoire ou conditionnelle.
La patiente apprend à se protéger en ne demandant rien — ou en demandant trop tard.
Le thérapeute, lui, doit composer avec ce paradoxe : répondre aux besoins tout en aidant le patient à les exprimer.
Ce travail est lent et Il implique d’affronter les défenses qui, autrefois, ont sauvé la personne mais qui, aujourd’hui, l’isolent au contraire.
Quand le doute ronge le lien.
Le doute est un compagnon obstiné :
• Doute sur la sincérité de l’autre.
• Doute sur ses propres perceptions.
• Doute sur la possibilité même du changement.
Le texte de Vera LIKAJ explore comment ce doute peut se glisser dans la thérapie elle-même.
La patiente peut penser : “Ce qu’il ou elle me dit, le pense-t-il vraiment ?”
Ou encore : “Si je montre qui je suis, sera-t-il encore là ?”
Ces questions, douloureuses mais légitimes, font partie intégrante du processus.
Le rôle du thérapeute, bien plus qu’une technique.
Face à ces histoires de désamour et de trauma, la technique ne suffit certainement pas.
Ce qui compte, c’est la qualité de la présence, c'est à dire la constance, la capacité à accueillir la colère aussi bien que la tendresse, à rester là, même lorsque la relation tangue.
Le thérapeute doit accepter d’être mis à l’épreuve, parfois critiqué, parfois rejeté.
Et pourtant, toujours tenir le fil.
Parce que, pour le patient, chaque fois que le lien survit à la tempête, une expérience nouvelle s’inscrit.
Exister malgré tout
Peu à peu, la thérapie devient un lieu où le patient peut sentir qu’il a droit à une place, pas parce qu’il a bien agi, pas parce qu’il a “mérité” l’amour, mais juste parce qu’il est. Et cela ne se fait pas en ligne droite.
Les rechutes, les silences, les moments de retrait font partie du chemin.
Mais chaque retour, chaque reprise du dialogue, vient nourrir une nouvelle expérience.
Un texte qui parle à tous.
Si cette histoire touche, c’est parce qu’elle parle de quelque chose de profondément humain, c'est à dire le besoin d’être vu, entendu, reconnu.
Et la difficulté de croire à l’amour quand on a grandi dans son absence.
C’est un rappel que la thérapie n’est pas seulement une question de réparation, et c’est aussi apprendre à habiter pleinement son existence, même quand le passé a tout fait pour nous en écarter.
Grandir sans amour, ou dans un amour imprévisible, c’est vivre dans un monde où rien n’est jamais sûr — ni la tendresse, ni sa propre valeur.
Et quand ces manques se combinent à un traumatisme, la personne ne doute pas seulement des autres : elle doute de son droit même à exister !
C’est là que commence l’histoire racontée dans ce texte : celle d’une patiente qui avance en thérapie avec, en toile de fond, le poids de ses blessures précoces et de ses épreuves ultérieures.
Des traces profondes
Le traumatisme, ici, dans cet article, n’est pas seulement l’accident ou l’agression.
C’est aussi et surtout l’absence de regard bienveillant dans l’enfance, la solitude face à la peur, le sentiment de n’avoir été ni vu ni entendu.
Et ces expériences vont laisser un héritage complexe :
• Une image de soi fragilisée.
• Une méfiance quasi instinctive envers les liens.
• Une vigilance constante pour prévenir la douleur.
En thérapie, cela va se traduire très souvent par un mouvement d’approche-retrait : envie de se confier, mais peur d’être blessée à nouveau.
Une relation thérapeutique sous tension.
Le texte de Vera LIKAJ, décrit avec finesse le jeu délicat qui s’installe entre patiente et thérapeute.
La patiente teste, doute, et observe.
Le thérapeute avance avec patience, sachant que chaque geste, chaque silence, peut être interprété à travers le filtre du passé.
La moindre dissonance peut réveiller une tempête : un retard, un changement d’intonation, une question mal perçue…
Dans cet espace, la confiance n’est pas donnée : elle se gagne millimètre par millimètre.
Entre lucidité et espoir.
Le récit ne cède ni au pessimisme, ni à l’angélisme.
Oui, le trauma laisse des empreintes durables.
Oui, certaines blessures restent sensibles, même après un long travail.
Mais la thérapie offre un lieu rare : un espace où la patiente peut essayer d’exister autrement.
Le texte montre comment, dans le meilleur des cas, la relation thérapeutique devient un laboratoire, c'est à dire un endroit pour tester de nouvelles manières d’être en lien, de nouvelles façons de se percevoir, d’oser se dire sans craindre la sanction.
Le poids du désamour.
Vivre sans amour stable, c’est vivre dans un monde où la chaleur humaine est perçue comme provisoire ou conditionnelle.
La patiente apprend à se protéger en ne demandant rien — ou en demandant trop tard.
Le thérapeute, lui, doit composer avec ce paradoxe : répondre aux besoins tout en aidant le patient à les exprimer.
Ce travail est lent et Il implique d’affronter les défenses qui, autrefois, ont sauvé la personne mais qui, aujourd’hui, l’isolent au contraire.
Quand le doute ronge le lien.
Le doute est un compagnon obstiné :
• Doute sur la sincérité de l’autre.
• Doute sur ses propres perceptions.
• Doute sur la possibilité même du changement.
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La patiente peut penser : “Ce qu’il ou elle me dit, le pense-t-il vraiment ?”
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